Pour Gilles Arnault ; en souvenir.
- lecirquedesmots
- 11 nov.
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Dernière mise à jour : 16 nov.
La photo au trapèze est celle de Jessica,mon nom au cirque.
Me souvenir ne devrait qu’être douloureux mais les harceleurs et harceleuses vous êtes allés trop loin ,tant pis pour vous.A la banque il est écrit depuis qu’ils m’ont spoliée de l’héritage de ma mère à cet endroit . : » vos projets commencent ici. » Ils ont voulu marquer pour que cela reste .
Les couleurs sont le rose et le vert.Ce sont ces mêmes couleurs qui étaient affichés en haut d’un immeuble parisien avec des variations d’intensité quand j’y dormais de temps en temps chez ce qui fut mon filleul et neveu à Belleville.Ces mêmes couleurs on les retrouve sur un service de table des assiettes et des soupières qui me venaient de ma grand-tante.
Cette phrase est censée me détruire à petit feu.
Lorsque j’ai retrouvé mon osthéopathe après les vacances passées comme toutes mes vacances à travailler depuis l’âge de 16 ans j’avais des projets: descendre dans le sud de la France effectuer mon premier contrat sur filet seule puis chercher un endroit pour installer mon matériel et m’entraîner.Je savais que je trouverai en me rapprochant de Forcalquier et j’avais aussi d’autres points de chute en tête. Je ne connaissais pas Alès. C’est pourtant là que je me suis échouée ,des mois plus tard ,des mois trop tard pour y mourir ma vie.Mais avant de crever j’ai pris le temps d’aller dire bonjour à mon kiné de lui souhaiter sa fête même et je lui avais lancé en partant:" j’ai plein de projets "pour qu’il ne s’inquiète pas.En effet quand j’étais allée le trouver, je ne faisais plus aucun projet au trapèze.Soit je trouvais quelqu’un pour me soigner soit je devais arrêter assez longtemps pour que mon épaule se remette .Mais que faire en attendant ? Après avoir été deux fois en séjour de vacances j’avais pris goût et décidé d’avoir une deuxième activité à exercer dans l’animation sportive.J’avais déjà appris à donner des cours de trapèze alors pourquoi pas pour après si un jour j’étais blessée.C’était un autre de mes projet;mon kiné m’avait aidé pendant l’année à ne pas craquer. Je vivais l’horreur et chez moi et avec mon partenaire dont je me séparais et avec ma famille.Rien n’allait.Le seul endroit le seul moment de répit c’était son regard et sa présence .
Ce qui fut mes deux frères se préparaient à s’installer en couple ,ma mère aussi venait de se décider à habiter avec son copain. Moi c’était le contraire je me séparais de mon premier amour et c’était très problématique.C’est pourquoi j’avais dû rentrer vivre dans l’appartement de ma mère alors que je n’y venais plus que deux jours par semaine tout au plus.Mais entre les tentatives de suicide et les menaces de Jean-Paul Quentin dit Palacy et ses méchancetés la proximité était devenue insupportable. Ma mère et ce qui fut mes frères me faisaient les pires saloperies pour me faire payer alors même que je me séparais de Jean Palacy d’avoir eu une relation avec un homme plus âgé. Ma mère me faisait payer de faire du trapéze et d’avoir réussi dans la mesure où je travaillais et où j’étais reconnue,appréciée.
Les salauds qui se sont mis en lien avec mon passé familial ont fouillé puis ont cherché à m’enfermer dans des histoires qui n’étaient ni les miennes ni celles de ma mère.Celle-ci avait tiré un trait sur tout depuis longtemps et avait élevé ses enfants seule. »Vos projets commencent ici »est inscrit pour me rappeler chaque jour que j’ai eu un souci avec Gilles Arnault . Souci que j’ai oublié depuis longtemps.Mais je l’exposerai plus loin.
Il est inscrit pour que je garde à l’esprit et que cela me rende malade le fait qu’au décès de ma mère ils ont sorti ma mère de l’hopital après l’avoir piqué car elle n’était pas en état d'être déplacée de l'hopital et l’ont fait signer au Crédit Mutuel de Penvenan pour vider ses comptes.Ensuite Vincent Cohignac est parti une semaine à l’étranger en bateau et a je suppose inventé un mensonge.Cet argent était de l’argent qu’il avait passé à sa mère pour échapper aux velleités de richesse de son ex femme,une hotesse d’acceuil venue des Philippines et qui toute sa vie n’a fait que pomper sa richesse sans jamais travaillé.En plus les gens de la famille de mon père et ceux de la famille ma mère détestaient ma mère . Le mot est faible ,ils la haissaient et l’accusaient d’être très économe. Ces publicitaires voulaient ainsi inscrire sur ces vitres une allusion à ce qu’ils savaient du drame vécu par ma mère.On a voulu ainsi que je vois qu’on me condamne comme ma mère à être isolée mise en quarantaine comme une vache en partance pour l’abattoir qu’on laisse à cote d’un bac d’eau pour qu'on la prenne là ou d’habitude elle boit. »Vos projets commencent ici « pour me signifier qu’ on me volera tout et qu’on me condamnera à la misère.Ce qu’ils ont bien réussi.Pour me signifier qu’il n’y a aucun projet pour moi que tout doit être ramené à des questions d’argent et me traiter comme ils ont traité ma mère comme si c’était une prostituée.
C’est cette version là que des militaires de sa famille évoquaient quand ma mère au lieu de se marier avec la personne qu’elle aimait a été contrainte d’avorter.On lui a menti et ma mère n’a jamais su ce qui s’était passé,moi non plus. Ma mère m’a dit de quelqu’un « il a eu un fils je t’en parlerai ». Ce que je sais c’est que cette version ,c’est une question d’argent, était au centre d’une sale histoire .Malheureusement pour ces dégueulasses qui demandent que je sois enfermée ici et font surveiller mes moindres faits et gestes ,me traitent de folle et appellent tous les médecins pour leur dire que je suis comme ma mère, ma mère était quelqu’un de très,contrairement à ce qu'ils affirment.N’étant pas coupable et étant morte sur le plan affectif depuis longtemps,je leur rends cette violence qui était totalement absente de cet homme qui m’avait redonné goût à la vie ,Gilles Arnault. Depuis plus de 10 ans je n’ai eu aucune relation sexuelle,pas une main pas une joue mais des que la nuit vient mes souvenirs me suffisent pour lutter et survivre ,la mort arrivera bientôt. Ma mère a été brutalisée et je me doute que mon grand-père avant de décéder aurait sans doute voulu lui parler ou échanger des explications. Ma mère a refusé au vu des violences subies. Il a sans doute essayé de venir me voir après un spectacle mais Jean Palacy ne m’a dit que quelques temps avant sa mort alors que j’étais séparée depuis longtemps et que mon grand-père était décédé que quelqu’un avait demandé à me voir ce soir là après un festival.
Mes harceleurs et harceleuses ont effectivement fait échouer chaque projet chaque petite expérience intéressante que ce soit au niveau de mes études ou de ma vie professionnelle .Il fallait ramener cela au néant.Ce harcèlement s’est abattu et a pris ces dernières années des proportions grotesques.D’où l’intitulé sur ma page « trop c’est trop ». Cette lettre d’adieu va être longue mais de la-haut il va entendre comprendre que je n’ai pas peur du noir grâce à lui,Gilles Arnault, que si demain il revenait, rien n’a changé que s’il repartait rien ne changerait.Son nom était inscrit dans une église celle de st Joseph des Epinettes sous la croix.Ce jour là j’ai chanté avec les enfants car c’était leur messe un samedi .Bonne nuit et à demain sans faute.

Hier soir au moment de rédiger la suite j’ai constaté que vous avez de nouveau , Meyer and co allongé le bras pour faire supprimer de l’affichage de l’offre de formation celle du master 2 FLE par le cned à l’université de Grenoble.Vous aviez entendu depuis ma ligne de tel que j’avais contacté le cned et avais obtenu un numéro dans l’E candidat.Alors je me suis reposée, Meyer and co , car vous me fatiguez.Voulant finir ma lettre, j’ai pu me relire et corriger quelques erreurs ,fautes de style et autres maladresses et c’est mieux. Je savais que je ne me réveillerai pas trop tard.
Le silence de ce jour sera plus fort que les voix que vous faîtes taire,Meyer and co.
Lorsque je me suis rendue à Laguiole pour trouver des traces de Gilles Arnault puisque j’avais appris par hasard qu’il était décédé je n’ai vu que des traces de souffrance.Les souffrances que vous lui avez imposées.A l’Église je n’ai pas pu entrer tellement la pierre suintait les douleurs infligées. Il n’y allait pas .J’ai pu voir la maison dans laquelle il avait vécu et rencontrer quelques personnes. La plupart d’entre elles étaient furieuses de l’état dans lequel vous l’aviez mis et ne voulaient pas parler avec moi.J’ai laissé un mot las-bas pour dire de faire attention à ne pas confondre et mélanger tout avec n’importe quoi au mépris du passé,le mien que vous n’arriverez pas à vous approprier,à me voler,en le détruisant,en déchirant les registres,en le déformant par vos mensonges et vos petits intérêts,en me harcelant.Vous aviez allongé le bras pour m’empêcher de finir ma licence d’allemand à l’université du Mans.Vous êtes découvert,Meyer and co.
Laguiole est le nom d’une ville et le nom d’une marque de couteau .A ma mère on avait offert un couteau à pain ou celle-ci l’avait acheté pour moi,en souvenir d’une soirée où j’avais pour la première fois de ma vie refusé le repas avec ma famille.J’avais refusé le pain.Ce n’était pas de bon augure.Le fils de Anne-Marie Champeau ,le petit-fils de Micheline Cambon m’avait un jour posé un opinel sur la table. Je n’avais pas compris pourquoi.Les histoires de couteau ne m’intéressent pas.
Le copain de ma mère est décédé en cette rentrée de septembre là.N’est-ce pas, Urbs ? Personne n’a eu un mot pour ma mère qui perdait la personne ayant installée quelques affaires dans la penderie et avair décidé de l’accompagner .Ma mère a aussi perdu sa fille en cette rentrée ,Meyer and co a voulu en profiter.
J’étais allée suite à une demande par tel de mon père dîner avec celui-ci.C’était la première fois de ma vie qu’il m’invitait seule.On lui avait suggéré une fois d eplus de s’occuper de sa fille et on lui a tendu un piège.A moi aussi on a tendu un piège.
Mon père n’a jamais eu un centime ni sur lui ni à donner à qui que ce soit. Il ne s’arrêtait pas sur la route. Au moment de Noël il fallait priver ma mère de ses enfants.Anne-Marie Chable allait à la foire fouille et achetait des bricoles pour la soirée.Lorsque mon père voulait m’offrir quelque chose il demandait au père d’Anne-marie Chable,Pierre Chable s’il pouvait m’emmener dans son magasin de grossiste en vêtements en choisir un.Les vêtements ne me plaisaient pas .J’ai depuis longtemps des gouts marqués.Par politesse je saisissais quelque chose et il m'observait ,gêné et peiné, que cela ne me plaise pas vraiment.ce soir là de septembre j’ai vu sa bouche se déformer car il ne trouvait pas de restaurant bon marché.Nous avons dîner il était heureux et me l’a dit.En sortant le piège s’est refermé.J’avais demandé à être au rez de chaussée et la personne très désagréable du restaurant a refusé prétextant qu’il y avait du monde,là où je souhaitais m’asseoir.Heureusement j’avais laissé ma veste d’Islande si bien que gilles Arnault et la famille Meyer n’ont pas pu faire comme c’était prévu.Une Meyer m’a prise en photo avec mon père.Mon père au tel avait dit bonjour ma chérie.
En rentrant de cette soirée j’ai été déstabilisée et j’ai fait un malaise.Rien de terrible mais j’ai préféré aller chez le médecin.Celui-ci a refusé tout soin toute prescription.Son nom était Dominique Herissay .Comme cela n’allait pas j’ai demandé à ma mère des explications que celle-ci m’a refusée .Je sentais qu’à la place d’un départ joyeux vers mon premier contrat seule sur le filet au lieu d’une longe j’allais avoir un empêchement inacceptable. Ma mère a refusé que j’utilise la voiture une « 4 L « que Monsieur Yeu m’avait offert pour me rendre sur mon lieu de travail à ste Croix,il est vrai à mille km de là .
J’ai essayé d’aller chercher une assurance,c’était fermé et Meyer a allongé son bras que je ne m’en sorte pas. Ma montre s’est arrêté et quand j’ai voulu demander l’heure ce n’était pas là où il fallait. Je n’avais pas levé les yeux pour lire où je mettais les pieds.Centre medico psychologique .On m’a kidnappée enfermée droguée puis traitée de cinglée.vous aviez réussi un beau coup Meyer. Ensuite il fallait prouver que j’étais coupable que j’avais bien mérité ce qui m’arrivait.Mais je vous laisse là Meyer continuer seul avec le diable.Celui de Rodez vous tirera vers l’enfer, sans moi. Il n’est pas loin de Carmaux d’où était originaire Monsieur Reynes d’une famille de mineurs.
Un seul jeune homme un élève a eu le courage de me demander pourquoi je ne suis pas mariée pourquoi je n’ai pas d’enfant moi si maternelle. Je n’en ai pas parce que Gilles Arnault est décédé lui non plus sans en avoir.C’était un dimanche matin neuf ans après cette catastrophe j’habitais Alès,faubourd de Rochebelle à côté d’une mosquée. On a sonné à ma porte un dimanche matin.les témoins de Jéhovah étaient là. Je ne les ai pas reçus. La semaine d’après j’étais en larmes comme d’habitude.Je n’avais pas envie d’ouvrir.Puis je me suis approchée et j’ai vu Gilles Arnault à ma porte.J’ai foncé à mon miroir voir si je pouvais le visage défait me montrer.Lorsque je suis revenue quelques secondes après le bel oiseau s’était envolé.Ensuite « Meyer and co »s’est agité et a téléphonné à une famille d’élèves inscrites à l’école du cirque que je dirigeais.On ne se gêne pas chez Meyer. Il a ensuite demandé à Gérard le père de venir me chercher en urgence et de s’imposer pour que surtout je sois enlevée de chez moi.Gérard le père de Marie que je ne connaissais pas s’est exécuté mais je ne voulais pas car je pensais bien que peut-être Gilles Arnault reviendrait dans la journée.Gérad Guez m’a d’abord fait sortir en prétextant l’anniversaire de Marie,une élève orpheline qu’il avait adoptée car sa femme et lui tenaient une famille d’accueil pour l’aide sociale à l’enfance.Ensuite en bas il m’a empêché de prendre ma voiture enfin il n’y avait aucun anniversaire et j’ai vite compris que je ne serai pas ramenée chez moi.Mon cri ce soir là tu vas l’entendre longtemps, Meyer,comme dans un film allemand celui dans lequel le cri d’un enfant casse du verre.
Ensuite vous m’avez faite enfermer Meyer pour la dernière fois. Je savais désormais que je n’étais pas folle alors vous n’avez plus réussie et maintenant Meyer c’est trop tard pour tous ceux et toutes celles qui portent vôtre nom.Vous avez inscrit vôtre nom sur la pompe à essence à Paimpol. Vos complices de jadis ont eu des héritiers et finiront par se débarrasser de quelqu’un d’aussi grossier.Vous avez fait inscrire le nom de Bernard Pivot sur un centre médico-psychologique dans les environs de Tours car le petit-fils de Bernard Pivot le fils de sa fille Cécile est handicapé.C’est facile ensuite de se faire payer des recherches pour développer la littérature pour les nuls;mais pour me faire passer pour érotomaniaque il faudra repasser, Meyer,ce n’est que le début.
Gilles Arnault à qui j’étais passé donner un papier un jour de marché était devenu mon faune;J’étais vêtue de rouge et d’orangés et en me regardant il a soudain perdu la face.Ce jour là j’ai su qu’il m’aimait.Je ne savais pas qu’il avait un problème de couple. Je n’arrivais jamais à lui parler sérieusement ,c’était un petit rigolo un petit libertin mais pour rien au monde il n’aurait eu un geste déplacé.On ne se comprenait pas.J’essayais de lui faire comprendre que j’avais été violée et que je ne souhaitais donc pas sur sa table de travail me laisser aller .Il ne comprenait pas que je n’avais pas confiance et il insistait pour que me détende .Celà a créé un qui-proquos. J’ai fini par refuser les soins mais ne voulait pas.Ensuite nous sommes tombés un peu amoureux mais le désir était léger .Seulement comme il était pour moi hors de question qu’il se passe quoi que ce soit de sexuel sur la table c’est devenu cauchemardesque . Il m’empêchait de dormir et au bout d’un moment j’ai décidé de lui offrir un livre pour l’obliger à m’écouter.C’est un livre que j’avais lu suite au viol subi chez un kiné alors que je n’avais qu’à peine 19 ans au moment de mon anniversaire en 1982.Un livre de Raympond Cousse qui m’a sauvé donné le courage de reprendre l’acrobatie après quinze jours cloués au lit de ma mère,un canapé marron.Ce livre raconte l’histoire d’un enfant confronté à la mort d’un ami. Je l’ai lu et relu puis je me suis dit l’enfant que j’étais c’est fini comme dans ce livre je suis morte mais je suis une adulte et comme Raymond Cousse je vais continuer à vivre.J’ai aussi tel à Marie -Claude à ce moment là .Mais après avoir décidé de lui donner ce livre j’ai appris qu’il ne pouvait pas avoir d’enfant avec son épouse;C’était trop tard pour revenir en arrière. Je me suis dit il faut mieux aller au bout de l’idée la laisser suivre son chemin.Lui il appuyait doucement jusque là pour faire ressortir des tensions je pensais qu’en appuyant doucement avec ce livre il me parlerait.J’ai vite compris qu’il était traumatisé peut-être plus que je ne l’avais été.J’ai donc décidé que ce serait non pour la bagatelle mais que je ne le laisserai pas tomber.J’aurais proposé de faire la mère porteuse tellement il était sympa.Malheureusement il vivait un cauchemar avec des gens terre à terre. Il a pu se trouver une autre une amie puis il a divorcé.Un autre dimanche il est venu chez moi ou a prévu de le faire. La cette fois ci on a pas appelé non pas une famille d’accueil mais la famille d’une puéricultrice hospitalière celle d’Emma, une autre élève.mais j’ai pu lui demandé pourquoi elle venait me chercher.Emma m’a répondu que sa mère avait reçu un coup de fil. Meyer a coincé Raymond Cousse dans son travail pour l’empêcher des se défendre avec des mots. Il ne pouvait pas décemment se lâcher en public de tout de qu’il a dû vivre dans a vie privée .Il a consigné quelque part probablement une partie des saloperies .Ensuite de son décès pour que cela reste privé on a probablement cherché à s’approcher de sa famille. De la même manière je n’avais pas osé m’opposer à Gérard Guez et faire un scandale dans la rue parce qu’il faisait partie des membres de l’association que je ne faisais que piloter;j’avais un conseil administration fait de voix de parents d’élève.Gilles Arnault a fait un scandale lui en pleine rue pour moi. Je me lâche moi aussi pour Raymond Cousse car vous m’attaquez en vous trompant de rayon ,Meyer .Vous êtes de mauvaise compagnie.
.En souvenir de Monsieur Baum qui me souriait dans sa maison d'Hansel et Gretel en pensant aux petits pêchés de mon bon-papa ,j'apprendrai l'allemand.."Bienheureux ceux qui ont soif de justice car ils seront rassasiés" est une pensée pour lui.Debout les silencieux ,les damnées de la terre ; »le soleil est levé, c’est l’heure de se lever » voilà ce que je disais à ma bonne -maman à Boëge et le répète pour faire taire les corbeaux assoiffés de sang.Posté à l’aube
Mes adieux prennent fin ce jour,10 novembre.Votre âme pour voyager sera plus légère plus volatile plus lumineuse et vous pourrez ,à la manière des croyances asiatiques revenir sous une autre forme,animale ou végétale. La mienne vous rejoindra bientôt .Je tenais à vous faire savoir que le livre intitulé « Enfantillages » de Raymond Cousse n’avait rien à voir avec votre problème de couple mais avec mon problème à moi.J’avais l’impression que vous me demandiez de régresser ,de revenir dans l’enfance ,de me relâcher cela m’était impossible.Lors de cette agression l’enfant en moi était mort.Vous ne vous vouliez pas parler peut-être pour ne pas montrer vos faiblesses ou vôtre fragilité.J’ai su après avoir décidé de vous donner ce livre quels étaient vos problèmes.J’ai voulu en parler avec votre copain médecin. Il m’a immédiatement renvoyé en me disant « ce sont des on-dit ».C’était sans doute méchant de ma part de ne pas renoncer à vous passer ce livre . Je n’ai pas pensé que cela vous renverrait à des décès .Sincèrement je vous présente des excuses si cette lecture au lieu de débloquer la situation vous a seulement fait souffrir. Ma mère n’a jamais su que vous étiez venu vers moi. De là-haut on entend tout.Les psychologues auxquels j’ai parlés voulaient eux aussi me faire revenir en enfance.J’ai refusé et d’autant plus qu’après avoir été kidnappé pour avoir demandé l’heure au mauvais endroit on m’a transporté dans un premier endroit chez les fous puis dans un deuxième où je pense avoir subi une double tentative de viol.Ensuite j’ai été transportée en ambulance dans un hôpital .En chemin ils se sont arrêtés et se sont enquis « t’as rien à me dire ? » Terrorisée je n’ai rien répondu. Au bout de quelques heures après être arrivée j’ai retrouvé mes esprits malgré les drogues injectées et ma mère est venue me chercher.Ensuite le déluge d’ignominies m’est tombé dessus.
A ma mère et à ma famille les gens ont parlé à ma place puis on m’a fait suivre surveiller et attirer dans tous les pièges.On a dit que j’étais homosexuelle puis que je n’étais qu’une traînée , on enregistrait déjà à l’Isle-adam les cris d’une voisine la nuit et on vous les faisait écouter en disant que c’était moi . Une fois que vous étiez venu vers moi je savais que vous m’aimiez et qu’il n’y aurait personne d’autre.On m’a accusée d’être une prostituée,une femme qui se donne facilement à n’importe qui.C’est faux mais mes relations n’étaient que pour l’hygiène,pour survivre au cauchemar. Je raconte celui-ci à la rubrique harcèlement. J’ai eu malgré tout un ami.on lui a demandé de prendre une photo je dégueulerai cela.J’ai attendu que vous et mes deux parents au sens strict ne soient plus là.En leur souvenir je rendrai tous les coups. De votre vivant je n’aurais pas voulu que vous sachiez par une autre que moi ce qu’on m’a fait.Les harceleurs et harceleuses le savaient;ils se sont donc servis d’anecdotes et d’informations déformées et faussées pour vous causer du tord. En empêchant les rencontres et les communications puis en opposant les uns aux autres cela a été très facile.Le geste que j’ai fait dans votre main,spontanément,vous avez dû l’évoquer.J’en ai parlé quelques fois puis j’ai réalisé que tous mes propos donnaient lieu systématiquement à des interprétations qui étouffent et bloquent le dialogue.Ensuite les harceleurs faisaient du copinage et donnaient leurs ordres .Je vous ai écrit et tenté de faire passer des messages mais il fallait que ceux contre lesquels Raymond Cousse a écrit « Stratégie pour deux jambons « celles qui empêchent les personnes de s’exprimer ne leur autorisant à dire que ce qu’eux-même sont capables de reprendre à leur compte,c’est à dire les traitant comme du bétail. Ces personnes ne cherchent et ne méritent aucun pardon. Il ne fallait pas me tuer .Le souvenir de votre main restait intact quand j’ai retrouvé là ou vous aviez vécu.Mes poursuivants et harceleuses vous ont fait partir avant mais ont laissé des traces qui les confondent.Faire détourner l’argent pour que je ne puisse pas étudier en laisse aussi.Sans cette lettre l’intensité du harcèlement n’est pas compréhensible et d’autres la liront mais seulement pour faire une petite polémique et se rendre intéressante.J’espère que vous êtes un oiseau à l’heure où j’écris et que rien ne trouble votre survol.Mon plus beau souvenir a été de passer un jour sans prévenir .Je me suis assise et j'entendais les voix souriantes emplies de bonne humeur. Je me suis régalée et je suis partie sur la pointe des pieds.Dans les films d'Ozu un cinéaste japonais qui appréciait la malice des jeunes femmes j'ai pu aussi me retrouver ,me reconnaître. Frédérique Cohignac,
née de Jacqueline Forray




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